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Dossier Tunisie La Révolution de Jasmin jour après jour

25 et 26 décembre 2010

La contestation populaire gagne la capitale et s'empare de Tunis.

Les diplômés chômeurs de Tunis se mettent eux aussi à manifester leur ras-le-bol et la nuit du 25 au 26 décembre est particulièrement violente.

A 265 km de là et à 15 km au sud de Sidi Bouzid, les manifestants mettent le feu à la sous-préfecture d'une ville de plus de 19 000 habitants. La garde nationale procède à des tirs de sommation pour tenter de disperser la foule.

Encore un peu plus loin, 2 000 contestataires affrontent la police entre 20h30 et 2 heures du matin à Regueb, mettant le feu à une banque, à un tribunal et causant d'autres dégâts importants au nom de leur droit au travail.

A Paris, des manifestations de soutien se mettent également en place.

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